Résumé : Un architecte de retour au pays avec de grandioses projets, un milliardaire obsédé par l’argent, une naturopathe un peu sorcière et des enfants ambitieux. Une fable sur l’âpreté de la vie contemporaine, l’avidité et les rêves fous d’un nouveau monde. Face aux stratégies des hommes de pouvoir pour accroître leur mainmise sur le monde, une vieille femme du nom de Malla tente de résister avec ses moyens...

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L’auteur : Éric Delphin Kwégoué est un auteur, metteur en scène et comédien camerounais. Il commence sa carrière de comédien et de dramaturge en 2002 après deux années de formation à la Maison des Jeunes et des Cultures de Douala. Il est l’auteur d’une vingtaine de pièces de théâtre, dont certaines ont été lues ont été lu et jouées en Afrique et en Europe, parmi lesquelles « L’ombre de mon propre vampire » (éditions Ifrikiya), « les Génétique » (éditions Scènes d’Ébène), « Autopsie d’une poubelle » et « Out » (éditions Écritures Théâtrales Grand Sud-ouest-France). Ses textes ont reçu différents prix : Prix des Inédits d’Afrique et d’Outremer en 2017 pour « Igonshua ou jamais sans eux » (éditions Lansman), Prix Esther de Littérature Théâtrale et prix Jacques Scherer 2021 pour « Taxiwoman » (éditions Lansman). Son projet « LeZ-Zanimal » est lauréat des SENDA - Studio d’Écritures Nomades en Drôme et en Ardèche. Il a effectué une résidence de trois mois à la Maison Jean Vilar à Avignon pour l’écriture de l’essai Scène éclatée ou la déconcentration du théâtre au Cameroun. Éric Delphin Kwégoué est, par ailleurs, directeur artistique du Festival Compto’Art54 à Douala, au Cameroun. « LeZ-Zanimal » est paru aux Éditions de l’appartement / Comédie de Valence.

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté d’Alex Sartoretti. Lu par Ibrahima Diokine Sambou, Abdon Fortuné Koumbha, Achille Gwem, Estelle Marion, Claudette Mendela Bediebe, Daddy Moanda Kamono. Création musicale Pierre-Alexandre Lampert. 

Résumé : Un vent nouveau souffle dans la ville B, comme un éclat de joie... Une partie de la population, après un sinistre dévastateur, a été indemnisée à hauteur de plusieurs millions de francs CFA. Et cela bouleverse toutes les relations humaines, au sein même des couples ou des familles… Un texte inspiré d’un fait réel survenu le 4 mars 2012, suite à l’explosion d’un dépôt de munitions à Brazzaville qui a détruit une partie des quartiers nord de la ville faisant 300 morts, 2 500 blessés et des milliers de sans-abris.

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L’autrice : Pierrette Mondako, comédienne et autrice du Congo, a écrit sa première pièce de théâtre « L’escalier aux danses sacro-folles » en 2002, au moment où elle vient de créer la troupe de théâtre Emeraude Pembe avec Célestin Kauset. Depuis, ses textes sont joués dans plusieurs festivals en Afrique, parmi lesquels « L’envers du ciel », « Femmes crues » ou « Le destin de Sabi ». Avec « Entre deux souffles, le silence », elle a déjà été lue dans Ça va, ça va le monde ! en 2020.

Lecture sur proposition des Francophonies – Des écritures à la scène et de la Maison des auteurs de Limoges, où le texte a été écrit durant une résidence d’écriture. L’autrice a aussi bénéficié pour ce texte d’une résidence à la Chartreuse avec la bourse Odyssée et à la Cité Internationale des Arts de Paris avec le programme TRAME.

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté de Romain Cinter. Lu par Clémence Boissé, Pierre Lefebvre-Adrien, Sabine Pakora, Tadié Tuéné, Lymia Vitte. Création musicale Pierre-Alexandre Lampert.

Résumé : C’est une scène qui se répète sous l’œil du Souffleur : un carrefour où un réverbère marque le temps de la nuit. La Femme attend. Le Flic rôde. Le Poète revient après une tentative ratée de prendre le large. Ici, être dehors ou être dedans, à l’air libre ou en cellule, se confondent en une seule et même réalité concentrationnaire....

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L’auteur : Né au Togo, Kossi Efoui est dramaturge, chroniqueur et romancier. Étudiant en philosophie à l’Université de Lomé, il prend part au mouvement de contestation du régime de Gnassingbé Eyadema. Ses activités politiques lui valent la prison et la torture par les autorités de son pays et finissent par le contraindre à l’exil, puis à l’installation en France. En 1989, il reçoit le Grand Prix Tchicaya U Tam’si du Concours théâtral interafricain, organisé par RFI jusqu’en 1992 et dont le Prix Théâtre RFI est aujourd’hui l’héritier, pour « Le Carrefour », une récompense qui lui a « sauvé la vie » comme il le raconte dans son dernier roman Une magie ordinaire (Éditions du Seuil, 2023). Il a obtenu de nombreux prix pour son œuvre (Prix du Nouveau Talent Radio de la SACD en 1993, Bourse de la Création du Centre National du Livre en 1996, Grand prix littéraire de l’Afrique Noire 2002 pour La Fabrique des cérémonies, Prix des 5 continents de Francophonie pour son roman Solo d’un revenant publié au Seuil en 2008…).

« Le carrefour » est édité chez L’Harmattan.

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté d’Alex Sartoretti. Lu par Ibrahima Diokine Sambou, Josué Ndofusu, Sabine Pakora, Basile Yawanké. Création musicale Pierre-Alexandre Lampert.

Résumé : Anna raconte quand tout a commencé : ses 8 ans, quand « les premiers messieurs sont venus à la maison ». Elle témoigne de l’enchaînement des violences. Elle criait, les parents se taisaient. Aujourd’hui, elle veut partir loin mais avant, elle se doit de confronter son histoire, tous ces coups humains subis, au mutisme de sa mère et de la société qui réduit les femmes au silence...

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L’autrice : Née au Mali, Jeanne Diama est auteure, metteuse en scène et comédienne. Diplômée du Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké Kouyaté, elle s‘intéresse très tôt à l’écriture et à la mise en scène, mais aussi au métier de comédienne, et commence à monter sur scène avec des pièces de théâtre, ou encore des performances de textes. Elle participe en tant qu’autrice au « Labo-élan » des Récréatrales à Ouagadougou en 2017-2018, et en tant que comédienne lors de l’édition 2018 du festival. Elle participe également aux trois éditions (2017-2019) des Praticables à Bamako. En 2018, elle est lauréate du programme « Visas pour la création » de l’Institut français, et effectue en juin 2019 une résidence d’autrices francophones pilotée par le festival Les Francophonies - Des écritures à la scène. Son texte « Cousu-main/Coups humains » a été lauréat du fonds « Des mots à la scène » de l’Institut français de Paris.

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté d’Alex Sartoretti. Lu par Estelle Marion et Zenabou Mbamba. Création musicale Sina Kienou. 

Résumé : C’est le matin, six heures on dirait, une foule prétend qu’un corps est tombé dans un lac, ou dans ce que tout le monde à décidé d’appeler « lac » parce qu’il y a de l’eau. Des poissons. Des gens. Les femmes surtout. Qui lessivent souvent, mais qui peuvent aussi se laver. Des hommes aussi. Même si ce n’est pas du même côté qu’ils se lavent. Un vieux et un jeune se sont écartés de la foule, vantant chacun l’épopée de sa génération : ses dirigeants, sa politique, ses acquis sociaux. Une joute générationnelle pour raconter un avenir bloqué, pour oublier « la démon-cratie de notre République »… 

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L’auteur : Comédien, metteur en scène, auteur et humoriste, Djo Ngeleka navigue entre plusieurs eaux. Il est né à Lubumbashi, en République démocratique du Congo, où il vit et travaille. Depuis 2010, il s’est lancé dans la quête d’un théâtre novateur qui rompt avec l’esthétique de la complaisance liée au besoin de survie. Il a incarné plusieurs personnages et a réalisé une dizaine de mises en scène. En tant qu’auteur, il a écrit quatre pièces de théâtre : « Paris sera pris », « M’appelle Wantanshi », « Le Lac » et « La conférence ». Il a également été lauréat du programme « Visas pour la création », organisé par l’Institut français en 2018 (catégorie théâtre) par lequel il a bénéficié d’une résidence de deux  mois en France. Il participe et porte également des projets en Afrique (notamment en RDC) et en Europe (Belgique, France). 

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté de Romain Cinter. Lu par Achille Gwem, Zenabou Mbamba, Arnold Mensah, Daddy Moanda Kamono, Tadié Tuéné. Création musicale Pierre-Alexandre Lampert.

Résumé : Une nuit dans une chambre, fenêtre ouverte, un couple fait l’amour, raconte sa passion, ses peurs et la tentation de l’exil. Alors que les rafales de mitraillette se font entendre dans la ville, ils disent aussi leur désir de beauté et cet amour fou pour cette capitale dévastée. 

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L’autrice : Née en 1987 à Port-au-Prince, Gaëlle Bien-Aimé est journaliste, comédienne, humoriste, auteure, metteure en scène et cofondatrice de Acte, École d’Art Dramatique. Elle est également artiviste et membre de l’organisation féministe Nègès Mawon. Formée en Haïti, en Belgique et au Canada, elle a beaucoup joué sous la direction de Jean René Lemoine, Guy Régis Jr, Pietro Varasso ou Daniel Marcellin avant de passer à l’écriture. « Port-au-Prince et sa douce nuit » est sa quatrième pièce de théâtre, pour laquelle elle a reçu le Prix Théâtre RFI 2022. Son texte « Que ton règne vienne » a également été lu à Avignon, lors du cycle de lectures de RFI en 2021. 

Crédits : Dirigé par Armel Roussel, assisté de Romain Cinter. Lu par Sachernka Anacassis, Jean d’Amérique et David Duverseau. Création musicale Pierre-Alexandre Lampert.

Cette année encore, Armel Roussel dirige le cycle de mises en lecture "Ca va, ça va le monde" au festival d'Avignon, avec RFI. Toute l'équipe se réjouit de vous y retrouver !

Les lectures auront lieu en public, du 15 au 20 juillet à 11h, à La Respélid, dans l'ancien Carmel d'Avignon. Elles seront diffusées en direct sur Facebook, puis retransmises sur les ondes de RFI.

Le programme de cette année est le suivant :

Résumé :

Écrite au plateau pendant une résidence d’auteur au Magasin de Malakoff avec la bande des Niaismans, Kalakuta Dream nous plonge dans la vie de Fela Kuti, le créateur de l’Afrobeat, fusion des éléments afro-américains du funk, du jazz, de la musique d’Afrique occidentale, de la musique traditionnelle nigériane et des rythmes yorubas. Dans ce texte, on retrouve le profil de Sandra Smith, la militante des Blacks Panthers qui fait son initiation politique, le rêve de sa maison forteresse du nom de Kalakuta d’où sa mère se défenestra, l’ombre de la drogue et de la politique… Entre drame et comédie, voire loufoquerie, la pièce interroge l’engagement au sens sartrien du terme. Invoquer l’esprit du musicien pour proposer un espace de partage dans lequel le spectateur puisse entrer, rêver et se construire.

Ecouter sur le site web de RFI


L’auteur :

Koffi Kwahulé, dramaturge et romancier, il s’est formé à l’Institut national des arts d’Abidjan puis à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre à Paris. Ses pièces ont pour la plupart été créées en Europe, en Afrique, en Amérique latine, en Amérique du Nord, au Japon et en Australie. En 2013, il a reçu le Prix Édouard Glissant et en 2015 le prix Mokanda et le Prix d’Excellence de Côte d’Ivoire. À ce jour, il a écrit une trentaine de pièces.


Crédits :

Lu par June Benhassam, Thomas Durcudoy, Jérémie Zagba. Musique : Wilfried Manzanza (batterie), Anthony Marcon (basse), Fanny Perche (saxophone), Pierre-Alexandre Lampert (guitare).
Dirigé et mis en scène par Armel Roussel, assisté par Julien Jaillot.

Résumé :

L’errance furieuse d’une jeunesse chaotique, qui confond sa soif de liberté avec la destruction de tout ce qui l’entoure.

Au sortir de la Grande Guerre, Bertolt Brecht a tout juste vingt ans. Profondément marqué par l’ivresse dévastatrice dans laquelle l’Europe s’est précipitée, il écrit Baal, comme une réponse sanglante à un siècle naissant et déjà condamné. Tout au long de sa vie, Brecht fut hanté par l’écho scandaleux de sa première pièce. Jusqu’à sa mort, il ne cessa de remanier ce texte qui, aujourd’hui encore, se détache comme une parenthèse brutale et dissonante, au sein de l’œuvre de l’un de nos plus grands auteurs de théâtre.
En choisissant de se confronter à la deuxième version de Baal, datée de 1919, Armel Roussel s’empare du nihilisme violent et sauvage du jeune Brecht. Il nous invite à suivre l’errance tragique d’un poète en rupture totale avec le monde qui l’entoure. Ivre d’alcool, de sexe et de sang, Baal apparaît comme une figure chaotique de la dévoration. Broyant l’existence de tous·tes celleux qui croisent sa route, il plonge peu à peu dans les noirceurs de l’âme et s’enfonce dans la nuit, seule à même de mettre un terme à sa course effrénée vers la destruction.

Depuis ses débuts, Armel Roussel n’a cessé de puiser son inspiration dans les textes de répertoire, qu’il confronte aux enjeux contemporains. Son goût des classiques est électrisé par la modernité de sa démarche esthétique. Généreux et impudique, souvent provocant mais toujours sincère, son théâtre agit comme une déflagration, qui met les œuvres en mouvement. Cette nouvelle création s'articule autour d’un thème qui a jalonné son parcours artistique : la course effrénée d’une jeunesse chaotique, qui noie son désir d’absolu dans les fureurs de la destruction.

Note d'intention:

Libre.
Voilà un mot tout simple et bien compliqué.
Baal est-il libre ?

Est-ce qu’être vraiment libre, c’est s’affranchir de toute règle, de tout code, de toute morale ?
Ou sommes-nous aussi protégé.es par ce qui nous contraint ?
Que ferions-nous et que serions-nous si nous n’avions pas de limite ?

Baal est un poète mais c’est aussi un porc.
Peut-on en 2022 faire d’un porc le héros d’une pièce ?
Je crois que c’est aussi cette question qui m’amène vers ce texte. Parce qu’il y a une impossibilité quelque part.

J’ai failli appeler le spectacle : «Baal - déconstruction ».
Puis je me suis ravisé, je trouvais cela trop ... je ne sais pas... précis ? Provocant ? Limitatif ?
Moral ?
Et puis les ayant-droits de Brecht ne seraient pas OK.
A la base, Ils ont des droits ! Nous des devoirs !
Nous sommes contraint.es.

Baal aurait envoyé tout cela balader.
Brecht, je ne sais pas.
Et nous, nous ferons avec.

Baal, c’est le premier texte de Brecht, Il l’a écrit en 1919 à 19 ans.
C’est à la fois son autoportrait et le portrait d’une jeunesse fracassée à l’issue de la Première Guerre mondiale.

Je pense que jouer Baal c’est aussi faire l’autoportrait de celui qui le joue et sans doute aussi un peu de celui qui le met en scène.
Nous allons nous confronter à des choses dangereuses de nous.
Il n’y aura pas de concession.

J’ai toujours pensé que le moment du spectacle... même si on y parle de choses difficiles... que ce moment devait être joyeux.
Non pour faire rire, mais parce que placer la recherche de la joie au centre de tout, c’est encore laisser palpiter la vie et le désir.

Le spectacle « Baal » sera une fête.
Que nous célébrerons à dix acteurices.
Ça va être rock. Ça va être fou. Ça va être ivre.

Y-a-t-il de l’amour dans le personnage de Baal ?
Comment allons-nous l’aimer ?

Armel Roussel

Crédits :

AuteurBertolt Brecht
TraductionEloi Recoing (version de Baal de 1919)
Mise en scèneArmel Roussel
InterprétationEdson Anibal (création), Siegfried Moncada (reprise), Romain Cinter, Emilie Flamant, Pierre-Alexandre Lampert, Berdine Nusselder, Vincent Minne, Eva Papageorgiou, Anthony Ruotte, Lode Thiery, Uiko Watanabe
Assistanat à la mise en scèneAlex Sartoretti
Collaboration dramaturgiqueJean-Gabriel Vidal
Direction TechniqueYorrick Detroy
ScénographieClément Losson
Création LumièreStéphane Babi Aubert
Création Musique et SonPierre-Alexandre Lampert
Régie lumièreGwenaël Laroche
Création CostumesOdile Dubucq
Attachée de PressePatricia Lopez
Directeur de ProductionCamille Grange
Responsable médiation culturelleRomain Cinter
Diffusion et productionAlex Sartoretti
PhotographesSimon Gosselin, Pascal Gély

Presse :

"Baal est un cocktail explosif, où le désenchantement le dispute au désabusement. Terriblement d’actualité, un siècle après son écriture. La volonté de Brecht (« Baal est contemporain de qui monte la pièce ») a été respectée." - La Voix du Nord, 10.11.2022

"La mise en scène aussi simple que directe et concrète d’Armel Roussel n’est pas sans écho à la violence et à la vanité de la société contemporaine. [...] Une enthousiasmante troupe d’acteurs traversée de l’énergie rageuse et de la mélancolie de la pièce joue tous les rôles avec une franche jubilation, et met en évidence combien la relation à l’autre et le rapport au monde sont dans Baal de puissants et organiques corps à corps, conflictuels et étreignants. [...] Baal, tel qu’il est montré, gagne en profonde humanité. Et si parfois, à l’évidence, il suscite le rejet, il parvient aussi à inspirer une certaine empathie. C’est la force de l’interprétation du comédien mais également celle de la vision du metteur en scène. « Je dois avouer que j’aime Baal » déclare Armel Roussel qui nous le fait aussi aimer." - Christophe Candoni, Scèneweb, 11.11.2022

Dates, lieux et réservations :

Du 14 au 23 mars 2023, au Théâtre Les Tanneurs à Bruxelles, Alyssa Tzavaras présentera son nouveau spectacle, Paradis fin de règne. Ce conte contemporain, récit de fantasmes, d’ambitions, de cauchemars et de désillusions, est coproduit par la compagnie [e]utopia, qui soutient le travail de l’artiste, actuellement au résidence au Théâtre Les Tanneurs. 

Paradis fin de règne met en scène le récit d’un jeune écrivain, en panne d’inspiration et dominé par des ambitions artistiques dévorantes, qui cède à l’offre énigmatique d’une productrice de cinéma : l’écriture d’un scénario ayant le fantasme pour thématique. Son grand œuvre est là. Mais soudain, sa réalité bascule, se détraque… Ses idées prennent le dessus, et la fiction s’immisce dans un présent aux frontières toujours troubles.

Entre comédie noire et épopée fantasque, Alyssa Tzavaras interroge les affres de la création artistique – pour que la quête de l’idéal n’ait de cesse de nous faire rire et nous surprendre.

Infos et réservation : https://lestanneurs.be/spectacle/paradis-fin-de-regne/

[e]utopia / Armel Roussel

Rue du Sceptre, 78 - 1050 Bruxelles - Belgique
N° entreprise: 0451.262.113
[e]utopia est une compagnie subventionnée par la Fédération Wallonie/Bruxelles – Service Théâtre.
[e]utopia est en résidence administrative au Théâtre Varia. Armel Roussel est artiste associé au Théâtre Varia à Bruxelles et au Théâtre du Nord à Lille.
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